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21 principes pour la lutte https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/feed/atom/gye-program 2025-06-04T03:00:29Z Mendy & Oleg Team 1: Fixer notre fondation et celle du monde 2012-02-09T00:00:00Z 2012-02-09T00:00:00Z https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/item/principle-1-hello-test the.guard <div class="element element-textarea first last"> <div><div> <div></div> <div>La lutte contre les désirs est un combat contre les émotions humaines les plus profondes. Et par conséquent, <strong>corriger ces émotions corrige la personne en profondeur plus que tout autre </strong><strong>chose</strong>. C’est pourquoi le Zohar appelle cela Yessod. Hachem ne nous dit pas seulement de na pas être sales. Mais plutôt, Il nous dit de <strong>nous construire </strong> avec les choses que <strong>nous ne faisons pas</strong>. La fondation d’u bâtiment est souterraine est personne ne la voit, mais elle tient jusqu’à l’ensemble du bâtiment. Shemirat Habrit est la partie cachée d’un Juif, c’est le <strong>véritable moi</strong>. Et si la fondation d’un Juif est faible, sa structure spirituelle entière est fragile et en grand danger d’effondrement.</div> </div> <p>Il est rapporté du Baal Shem Tov, que si une personne réussit à subjuguer ce désir particulier, alors il sera capable automatiquement de subjuguer tous les autres désirs, comme le Mekor Mayim Haim écrit (Baal Shem Tov, Leh’ Leh’a), « Car c’est de la force de <strong>ce désir </strong> que l’homme est créé, et une personne a 365 tendons –parallèlement aux 365 commandements négatifs, et en subjuguant cela, il annule donc [les désirs de] tous les 365 commandements négatifs ». Le Bnei Yissahar écrit aussi (Dereh Pikoudeha): “Nous avons une tradition de nos pères que le Yetser Hara désire plus que tout attaquer la personne au niveau de ces fautes-là, car dans ce désir sont inclus <strong>tous les autres</strong>. » Peut-être que c’est la raison pour laquelle R’ Nah’man écrit aussi que ces tentations sont le test principal d’un homme dans la vie.</p> <p>Il est dit dans les Korbanot: “<em>Zeh Ha’ishe hasher Takrivou LaHashem </em>– C’est le feu que vous sacrifierez à Hachem.” <strong><em>Isheh </em> </strong> signifie feu, mais il se prononce aussi <strong><em>Ishah</em></strong>, qui signifie “une femme”. Le plus grand sacrifice qu’un homme doit faire dans sa vie pour Hachem est <strong><em>zeh Ha’isheh</em></strong>– ce désir pour les femmes et le feu de la convoitise.</p> <p>En travaillant dans ces domaines, nous apprenons finalement à donner notre cœur entier à Hachem, comme le passouk dit: “<strong><em>Beh’ol Levavh’a </em>– De tout ton cœur</strong>.” Et <em>H’azal </em> disent: “<strong><em>Bishnei Yitzreh’a</em>–Avec tes deux penchants</strong>.”</p> <p>Et non seulement nous nous corrigeons en profondeur par cette lutte, mais nous corrigeons également le monde. Chaque génération a ses propres tests, et ce test est probablement le test de notre génération. Il n’y a jamais eu une époque dans l’histoire, où la promiscuité et le manque de moral s’est autant propagé dans tous les coins du monde, comme c’est le cas aujourd’hui. Dans la génération précédent la venue du Machiah’, nous « raclons les fonds de tiroir ». Nous faisons le travail final, avant les beaux jours à venir.</p> <p>Cette tâche difficile est seulement donnée aux grandes âmes qui ont un immense potentiel. Ainsi, si Hachem nous a donné cette lutte, cela signifie qu’Il nous fait confiance pour accomplir cette grande mission.Cela en soi devrait nous apporter la joie et la motivation. Et bien sûr, si nous réussissons,nous serons en première ligne pour accueillir le Machiah’ !</p></div></div> <div class="element element-textarea first last"> <div><div> <div></div> <div>La lutte contre les désirs est un combat contre les émotions humaines les plus profondes. Et par conséquent, <strong>corriger ces émotions corrige la personne en profondeur plus que tout autre </strong><strong>chose</strong>. C’est pourquoi le Zohar appelle cela Yessod. Hachem ne nous dit pas seulement de na pas être sales. Mais plutôt, Il nous dit de <strong>nous construire </strong> avec les choses que <strong>nous ne faisons pas</strong>. La fondation d’u bâtiment est souterraine est personne ne la voit, mais elle tient jusqu’à l’ensemble du bâtiment. Shemirat Habrit est la partie cachée d’un Juif, c’est le <strong>véritable moi</strong>. Et si la fondation d’un Juif est faible, sa structure spirituelle entière est fragile et en grand danger d’effondrement.</div> </div> <p>Il est rapporté du Baal Shem Tov, que si une personne réussit à subjuguer ce désir particulier, alors il sera capable automatiquement de subjuguer tous les autres désirs, comme le Mekor Mayim Haim écrit (Baal Shem Tov, Leh’ Leh’a), « Car c’est de la force de <strong>ce désir </strong> que l’homme est créé, et une personne a 365 tendons –parallèlement aux 365 commandements négatifs, et en subjuguant cela, il annule donc [les désirs de] tous les 365 commandements négatifs ». Le Bnei Yissahar écrit aussi (Dereh Pikoudeha): “Nous avons une tradition de nos pères que le Yetser Hara désire plus que tout attaquer la personne au niveau de ces fautes-là, car dans ce désir sont inclus <strong>tous les autres</strong>. » Peut-être que c’est la raison pour laquelle R’ Nah’man écrit aussi que ces tentations sont le test principal d’un homme dans la vie.</p> <p>Il est dit dans les Korbanot: “<em>Zeh Ha’ishe hasher Takrivou LaHashem </em>– C’est le feu que vous sacrifierez à Hachem.” <strong><em>Isheh </em> </strong> signifie feu, mais il se prononce aussi <strong><em>Ishah</em></strong>, qui signifie “une femme”. Le plus grand sacrifice qu’un homme doit faire dans sa vie pour Hachem est <strong><em>zeh Ha’isheh</em></strong>– ce désir pour les femmes et le feu de la convoitise.</p> <p>En travaillant dans ces domaines, nous apprenons finalement à donner notre cœur entier à Hachem, comme le passouk dit: “<strong><em>Beh’ol Levavh’a </em>– De tout ton cœur</strong>.” Et <em>H’azal </em> disent: “<strong><em>Bishnei Yitzreh’a</em>–Avec tes deux penchants</strong>.”</p> <p>Et non seulement nous nous corrigeons en profondeur par cette lutte, mais nous corrigeons également le monde. Chaque génération a ses propres tests, et ce test est probablement le test de notre génération. Il n’y a jamais eu une époque dans l’histoire, où la promiscuité et le manque de moral s’est autant propagé dans tous les coins du monde, comme c’est le cas aujourd’hui. Dans la génération précédent la venue du Machiah’, nous « raclons les fonds de tiroir ». Nous faisons le travail final, avant les beaux jours à venir.</p> <p>Cette tâche difficile est seulement donnée aux grandes âmes qui ont un immense potentiel. Ainsi, si Hachem nous a donné cette lutte, cela signifie qu’Il nous fait confiance pour accomplir cette grande mission.Cela en soi devrait nous apporter la joie et la motivation. Et bien sûr, si nous réussissons,nous serons en première ligne pour accueillir le Machiah’ !</p></div></div> 2: La Crainte du Ciel ne peut pas toujours nous arrêter, mais peut nous Pousser 2011-11-27T00:00:00Z 2011-11-27T00:00:00Z https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/item/principle-2 madmin <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Souvent nous sommes conscients de la gravité de ces fautes, pourtant la “Crainte du Ciel” à elle seule n’est pas toujours suffisante pour nous arrêter lorsque confrontés à une attaque des désirs. Ce n’est pas que nous ne craignons pas Hachem, mais souvent ce pouvoir à lui seul ne suffit pas, lorsqu’il s’agit de ces comportements extrêmement addictifs. Pas seulement cela, le désir est si puissant, que même les grands Tzadikim qui craignaient Hachem de tout coeur, se sont parfois sentis impuissants face au combat de front avec les désirs. Regardez ce qui s’est passé avec <em>Matya Ben H’arash </em> et <em>Rav </em><em>Amram, Rabban Shel Tzadikim</em>. Dans ces deux cas, ces grands Tsadikim ont dû prendre des mesures extrêmes pour s’assurer de ne pas trébucher.</p> <p><strong>Le Midrash Yalkout Shimoni (Vayeh’i) raconte l’histoire suivante:</strong></p> <p class="indent"><em>Une fois que le Satan regarda Matya Ben H’arash qui était un grand Tsadik, et se demanda « est-ce possible que cet homme ne faute pas ? », alors le Satan alla demander à D : « Comment est-ce que Tu vois Rabbi Matya Ben H’arash ? » Et D. répondit: “C’est un Tsadik parfait”. Le Satan dit à D. “Donne-moi la permission de le mettre à l’épreuve”.D. dit eu Satan: “Vas-y”.</em></p> <p class="indent"><em>Le Satan apparut à Rabbi Matya comme une belle femme, d’une beauté qu’il n’y avait jamais eu au monde. Lorsque le Tsadik la vit, il tourna immédiatement son visage. Alors la femme se déplaça rapidement vers le coté où Rabbi Matya avait tourné la tête, et il détourna de nouveau son visage. Alors le Tsadik se dit : “Je crains que mon Yetser Hara me domine et me fasse fauter”. Qu’a fait le Tsadik ? Il appela un élève qui était avec lui,et lui demanda d’apporter du feu et des clous. L’élève lui apporta les clous et le Tsadik les mit dans le feu, puis les posa sur ses yeux et devint aveugle.Lorsque le Satan vit cela, il trembla et tomba en arrière.</em></p> <p><em>A ce moment-là, le Saint Béni Soit-Il appela l’ange Raphael, - car il est en charge de la guérison- et lui dit : « Va et guéris le Rabbi Matya Ben H’arash ». Raphael alla alors chez le Rabbi Matya et le Rabbi Matya lui demanda “Qui es-tu?” et il répondit: “Je suis l’ange Raphael, je suis venu car D. m’a envoyé pour guérir tes yeux ». Rabbi Matya répondit : « Laisse-moi tranquille, ce qui est fait, est fait ». Raphael retourna auprès du Saint Béni soit-Il et dit: “Maître du Monde, ainsi a parlé Matya”.D. dit à Raphael: “Retourne auprès de lui, et dis-lui que je garantis personnellement que le Yetser Hara n’aura aucun pouvoir sur lui. » Raphael alla immédiatement guérir Matya. De là nos sages ont dit : « Tous ceux qui veillent à ne pas regarder les femmes, le Yetser Hara n’a aucun pouvoir sur eux. »</em></p> <p><strong>La Guemara dans Kidoushin 81/a, raconte l’histoire suivante:</strong></p> <p class="indent"><em>Quelques femmes qui avaient été prises en captivité, avaient été rachetées et amenées à Nehardai. Elles avaient été placées dans le grenier du Rav Amram hah’assid, et l’échelle avait été retirée. La nuit, un faisceau de lumière réfléchit l’une des femmes, révélant sa beauté. Rav Amram fût saisi par la convoitise et déplaça l’échelle (qui demandait normalement une dizaine de personnes pour être déplacée) pour monter. Alors qu’il était à mi-hauteur, il cria « Il y a un incendie dans la maison de Rav Amram ! », et les Rabbanan (Rabbanim et élèves) ont afflué dans sa maison. Après avoir vu qu’il n’y avait pas d’incendie dans sa maison ils lui dirent : « Tu nous a fait honte (par ta conduite) ! » Rav Amram répondit : “Il vaut mieux souffrir de honte dans ce monde que dans le monde future. »</em></p> <p>Ce que nous pouvons apprendre de ces deux histoires est que, bien que la Yirat Shamayim ne soit pas toujours suffisante à elle seule, elle devrait nous pousser à prendre <strong>TOUTES les mesures que nous pouvons</strong> pour se libérer de ces pièges (Voir la partie 1 de ce manuel pour connaître les mesures à prendre).</p> <p><strong>{pagebreak}</strong></p> <p>Dans cette perspective, essayons d’explorer quelques aspects de ces fautes qui peuvent nous aider à renforcer notre Crainte du Ciel, pour s’assurer que prenons vraiment toutes les mesures que nous pouvons pour se libérer :</p> <p>H’azal (Niddah 13a) écrivent que hz”l (hotsaat zera levatala) est comme si l’on versait du sang ou qu’on adorait une Avoda Zarah, et que ceux qui le font sont Hayav Mita Bidei Shamayim. Le Zohar va même jusqu’à dire que c’est la pire des fautes de la Torah. Un autre résultat terrible de ces fautes qui est ramené dans les Livres Saints, est la désensibilisation à la connexion spirituelle. Plus nous fautons dans ces domaines, plus nous devenons insensibles. Ceci est un phénomène fréquemment expérimenté par des gens qui perdent lentement leur aspiration à la spiritualité et commencent à se sentir de plus en plus déconnectés de la Torah, du Chabbat et des Mistvot. Malheureusement, cela rend aussi la Techouva difficile car l’on se déconnecte de plus en plus.</p> <p>En outre, ces comportements nécessitent de cacher, mentir et vivre une double-vie. Ceci nous coupe du monde autour de nous et nous empêche de sentir l’immense bonté d’Hachem, qui remplit nos vies. Cela nous empêche de voir la valeur du monde autour de nous, celle de nos âmes et celle d’Hachem. Nous commençons à perdre notre estime pour notre épouse et nos enfants. Nous sommes incapables de trouver une paix intérieure, nous ne pouvons pas arrêter de convoiter, et nous restons fermés dans notre coquille que personne ne parvient à pénétrer.</p> <p>C’est aussi rapporté dans les textes kabbalistiques que l’émission de chaque goutte en vain entraine la création de certaines âmes, qui sont accaparées par les forces du mal et deviennent des forces démoniaques qui provoquent beaucoup de souffrance dans la vie d’une personne. Les âmes, elles-aussi souffrent dans la misère sans espoir (à moins que nous nous corrigions), et après notre mort, elles interviendront contre nous en tant que terribles accusateurs.</p> <p>Mais ne laissez pas ces révélations dramatiques vous désespérer. La Techouva a été créée, et Hachem savait que nous allions tomber dans ces domaines. Hachem a une patience infinie et nous comprend beaucoup mieux que nous-mêmes. H’azal disent que Hachem a même amené David à trébucher avec Batchéva, seulement pour nous montrer l’incroyable puissance de la Téchouva.</p> <p>Aussi, il est rapporté dans les livres saints que grâce à une Téchouva sincère, toutes les âmes que nous avons créées par nos péchés deviennent réellement élevées, et se transforment d’anges accusateurs” en “anges défenseurs” à la place.</p> <p>Donc ne désespérez jamais ! Bien que le modèle standard de Téchouva peut ne pas toujours marcher lorsqu’on fait face à des comportements addictifs (Voir la partie B, cela est discuté plus profondément), par l’apprentissage de la bonne perspective sur cette lutte, et en prenant les mesures que nous pouvons pour nous libérer, nous avons fait <strong>exactement </strong> ce que Hachem attendait de nous.. C’est notre Téchouva.</p></div></div> <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Souvent nous sommes conscients de la gravité de ces fautes, pourtant la “Crainte du Ciel” à elle seule n’est pas toujours suffisante pour nous arrêter lorsque confrontés à une attaque des désirs. Ce n’est pas que nous ne craignons pas Hachem, mais souvent ce pouvoir à lui seul ne suffit pas, lorsqu’il s’agit de ces comportements extrêmement addictifs. Pas seulement cela, le désir est si puissant, que même les grands Tzadikim qui craignaient Hachem de tout coeur, se sont parfois sentis impuissants face au combat de front avec les désirs. Regardez ce qui s’est passé avec <em>Matya Ben H’arash </em> et <em>Rav </em><em>Amram, Rabban Shel Tzadikim</em>. Dans ces deux cas, ces grands Tsadikim ont dû prendre des mesures extrêmes pour s’assurer de ne pas trébucher.</p> <p><strong>Le Midrash Yalkout Shimoni (Vayeh’i) raconte l’histoire suivante:</strong></p> <p class="indent"><em>Une fois que le Satan regarda Matya Ben H’arash qui était un grand Tsadik, et se demanda « est-ce possible que cet homme ne faute pas ? », alors le Satan alla demander à D : « Comment est-ce que Tu vois Rabbi Matya Ben H’arash ? » Et D. répondit: “C’est un Tsadik parfait”. Le Satan dit à D. “Donne-moi la permission de le mettre à l’épreuve”.D. dit eu Satan: “Vas-y”.</em></p> <p class="indent"><em>Le Satan apparut à Rabbi Matya comme une belle femme, d’une beauté qu’il n’y avait jamais eu au monde. Lorsque le Tsadik la vit, il tourna immédiatement son visage. Alors la femme se déplaça rapidement vers le coté où Rabbi Matya avait tourné la tête, et il détourna de nouveau son visage. Alors le Tsadik se dit : “Je crains que mon Yetser Hara me domine et me fasse fauter”. Qu’a fait le Tsadik ? Il appela un élève qui était avec lui,et lui demanda d’apporter du feu et des clous. L’élève lui apporta les clous et le Tsadik les mit dans le feu, puis les posa sur ses yeux et devint aveugle.Lorsque le Satan vit cela, il trembla et tomba en arrière.</em></p> <p><em>A ce moment-là, le Saint Béni Soit-Il appela l’ange Raphael, - car il est en charge de la guérison- et lui dit : « Va et guéris le Rabbi Matya Ben H’arash ». Raphael alla alors chez le Rabbi Matya et le Rabbi Matya lui demanda “Qui es-tu?” et il répondit: “Je suis l’ange Raphael, je suis venu car D. m’a envoyé pour guérir tes yeux ». Rabbi Matya répondit : « Laisse-moi tranquille, ce qui est fait, est fait ». Raphael retourna auprès du Saint Béni soit-Il et dit: “Maître du Monde, ainsi a parlé Matya”.D. dit à Raphael: “Retourne auprès de lui, et dis-lui que je garantis personnellement que le Yetser Hara n’aura aucun pouvoir sur lui. » Raphael alla immédiatement guérir Matya. De là nos sages ont dit : « Tous ceux qui veillent à ne pas regarder les femmes, le Yetser Hara n’a aucun pouvoir sur eux. »</em></p> <p><strong>La Guemara dans Kidoushin 81/a, raconte l’histoire suivante:</strong></p> <p class="indent"><em>Quelques femmes qui avaient été prises en captivité, avaient été rachetées et amenées à Nehardai. Elles avaient été placées dans le grenier du Rav Amram hah’assid, et l’échelle avait été retirée. La nuit, un faisceau de lumière réfléchit l’une des femmes, révélant sa beauté. Rav Amram fût saisi par la convoitise et déplaça l’échelle (qui demandait normalement une dizaine de personnes pour être déplacée) pour monter. Alors qu’il était à mi-hauteur, il cria « Il y a un incendie dans la maison de Rav Amram ! », et les Rabbanan (Rabbanim et élèves) ont afflué dans sa maison. Après avoir vu qu’il n’y avait pas d’incendie dans sa maison ils lui dirent : « Tu nous a fait honte (par ta conduite) ! » Rav Amram répondit : “Il vaut mieux souffrir de honte dans ce monde que dans le monde future. »</em></p> <p>Ce que nous pouvons apprendre de ces deux histoires est que, bien que la Yirat Shamayim ne soit pas toujours suffisante à elle seule, elle devrait nous pousser à prendre <strong>TOUTES les mesures que nous pouvons</strong> pour se libérer de ces pièges (Voir la partie 1 de ce manuel pour connaître les mesures à prendre).</p> <p><strong>{pagebreak}</strong></p> <p>Dans cette perspective, essayons d’explorer quelques aspects de ces fautes qui peuvent nous aider à renforcer notre Crainte du Ciel, pour s’assurer que prenons vraiment toutes les mesures que nous pouvons pour se libérer :</p> <p>H’azal (Niddah 13a) écrivent que hz”l (hotsaat zera levatala) est comme si l’on versait du sang ou qu’on adorait une Avoda Zarah, et que ceux qui le font sont Hayav Mita Bidei Shamayim. Le Zohar va même jusqu’à dire que c’est la pire des fautes de la Torah. Un autre résultat terrible de ces fautes qui est ramené dans les Livres Saints, est la désensibilisation à la connexion spirituelle. Plus nous fautons dans ces domaines, plus nous devenons insensibles. Ceci est un phénomène fréquemment expérimenté par des gens qui perdent lentement leur aspiration à la spiritualité et commencent à se sentir de plus en plus déconnectés de la Torah, du Chabbat et des Mistvot. Malheureusement, cela rend aussi la Techouva difficile car l’on se déconnecte de plus en plus.</p> <p>En outre, ces comportements nécessitent de cacher, mentir et vivre une double-vie. Ceci nous coupe du monde autour de nous et nous empêche de sentir l’immense bonté d’Hachem, qui remplit nos vies. Cela nous empêche de voir la valeur du monde autour de nous, celle de nos âmes et celle d’Hachem. Nous commençons à perdre notre estime pour notre épouse et nos enfants. Nous sommes incapables de trouver une paix intérieure, nous ne pouvons pas arrêter de convoiter, et nous restons fermés dans notre coquille que personne ne parvient à pénétrer.</p> <p>C’est aussi rapporté dans les textes kabbalistiques que l’émission de chaque goutte en vain entraine la création de certaines âmes, qui sont accaparées par les forces du mal et deviennent des forces démoniaques qui provoquent beaucoup de souffrance dans la vie d’une personne. Les âmes, elles-aussi souffrent dans la misère sans espoir (à moins que nous nous corrigions), et après notre mort, elles interviendront contre nous en tant que terribles accusateurs.</p> <p>Mais ne laissez pas ces révélations dramatiques vous désespérer. La Techouva a été créée, et Hachem savait que nous allions tomber dans ces domaines. Hachem a une patience infinie et nous comprend beaucoup mieux que nous-mêmes. H’azal disent que Hachem a même amené David à trébucher avec Batchéva, seulement pour nous montrer l’incroyable puissance de la Téchouva.</p> <p>Aussi, il est rapporté dans les livres saints que grâce à une Téchouva sincère, toutes les âmes que nous avons créées par nos péchés deviennent réellement élevées, et se transforment d’anges accusateurs” en “anges défenseurs” à la place.</p> <p>Donc ne désespérez jamais ! Bien que le modèle standard de Téchouva peut ne pas toujours marcher lorsqu’on fait face à des comportements addictifs (Voir la partie B, cela est discuté plus profondément), par l’apprentissage de la bonne perspective sur cette lutte, et en prenant les mesures que nous pouvons pour nous libérer, nous avons fait <strong>exactement </strong> ce que Hachem attendait de nous.. C’est notre Téchouva.</p></div></div> 3: Vous n’êtes pas seul 2011-11-24T00:00:00Z 2011-11-24T00:00:00Z https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/item/principle-3-you-are-not-alone madmin <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Presque tout le monde a des difficultés au sujet des désirs, à un certain niveau, et un pourcentage élevé ont trébuché dans ces domaines. Rav Wolbe Zatsa’’l dans son Sefer « Psychiatrie et religion » (p.82) écrit : « La phase difficile de l’adolescence est un terreau fertile pour cultiver des sentiments de culpabilité, surtout pour les jeunes religieux. La masturbation est une interdiction sérieuse. Pourtant, presque tous les jeunes trébuchent sur cela, et ne sont pas capables de trouver la force de surmonter cette difficulté d’aucune façon. » (Voir l’outil 5 dans la partie 1 de ce manuel pour plus de détails sur ce qu’il suggère). Même les Tsaddikim des générations précédentes ont lutté dans ces domaines (comme ils mentionnent « les fautes de la jeunesse »), vous pouvez donc imaginer que ceux qui recherchent la pureté, dans une génération comme la nôtre, sont vraiment les plus grands guerriers d’Hachem. Dans la communauté GYE, vous trouverez des milliers de Juifs religieux comme vous qui luttent dans ces domaines. Sur notre <span >forum </span> dynamique et vivant, des gens comme vous échangent des questions et énormément de H’izouk, postent les étapes de leurs progrès et partagent expérience et espoir. Et vous pouvez également lire les nombreuses histoires sur notre site web pour voir ce que les autres ont vécu et comment ils ont réussi.</p></div></div> <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Presque tout le monde a des difficultés au sujet des désirs, à un certain niveau, et un pourcentage élevé ont trébuché dans ces domaines. Rav Wolbe Zatsa’’l dans son Sefer « Psychiatrie et religion » (p.82) écrit : « La phase difficile de l’adolescence est un terreau fertile pour cultiver des sentiments de culpabilité, surtout pour les jeunes religieux. La masturbation est une interdiction sérieuse. Pourtant, presque tous les jeunes trébuchent sur cela, et ne sont pas capables de trouver la force de surmonter cette difficulté d’aucune façon. » (Voir l’outil 5 dans la partie 1 de ce manuel pour plus de détails sur ce qu’il suggère). Même les Tsaddikim des générations précédentes ont lutté dans ces domaines (comme ils mentionnent « les fautes de la jeunesse »), vous pouvez donc imaginer que ceux qui recherchent la pureté, dans une génération comme la nôtre, sont vraiment les plus grands guerriers d’Hachem. Dans la communauté GYE, vous trouverez des milliers de Juifs religieux comme vous qui luttent dans ces domaines. Sur notre <span >forum </span> dynamique et vivant, des gens comme vous échangent des questions et énormément de H’izouk, postent les étapes de leurs progrès et partagent expérience et espoir. Et vous pouvez également lire les nombreuses histoires sur notre site web pour voir ce que les autres ont vécu et comment ils ont réussi.</p></div></div> 4: La détermination est complètement entre nos mains 2011-11-23T00:00:00Z 2011-11-23T00:00:00Z https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/item/principle-4-determination-is-completely-up-to-us madmin <div class="element element-textarea first last"> <div><div> <div><br />Le gaon de Vilna explique que ce qu’une personne dit qu’elle veut, et même ce qu’elle pense qu’elle avoir envie, n’a aucun rapport avec ce qu’elle veut réellement. Le Yetser Hara a reçu la permission de donner le sentiment à une personne, qu’elle veut quelque chose qu’elle ne veut pas en réalité. Et c’est la même chose pour ce qu’une personne sent qu’elle peut ou ne peut pas faire. Cela n’a aucun rapport avec ce qu’elle peut ou ne peut pas faire <strong>en réalité</strong>. Alors croyez en votre réussite, même si vous sentez que vous n’en n’êtes pas capable.</div> </div> <div><br />Le plus grand obstacle pour réussir n’est pas de croire que vous pouvez réussir. Le premier obstacle pour surmonter cette lutte n’est pas dans vos gènes, votre enfance ou votre environnement. Si vous croyez que vous pouvez réussir et êtes prêt à faire l’effort, vous trouverez le moyen de sortir. Absolument RIEN ne peut empêcher un véritable RATSON. Vous pouvez lire les histoires de rétablissement sur notre site pour voir que beaucoup de gens dans une situation pire que la vôtre ont réussi à se libérer de ces comportements.</div> <div><br />Nous devons véritablement vouloir se libérer de ce <em>Mitsrayim</em>. H’azal dissent que ceux qui n’ont pas voulu quitter <em>Mitsrayim </em> sont mort de la plaie de l’obscurité. Déjà au départ de notre parcours, nous devons être déterminés que <strong>nous ne céderons jamais </strong> et que l’on continuera toujours d’essayer, quoi qu’il en soit.</div> <div><br />R' Tzadok HaKohen de Lublin écrit (Tsidkathatzadik 154): “Tout comme on doit croire en Hachem, il faut croire en soi-même ! » Hachem veut que nous CROYONS en nos forces, nos capacités, et en notre faculté de vaincre le mal et atteindre la grandeur.</div> <div><br />Bien que nous puissions nous sentir dans une impasse, la <strong>détermination </strong> est complètement entre nos mains. L’astuce pour le succès final est seulement d’avoir <strong> assez de volonté</strong>. Alors soyons honnêtes avec nous-mêmes. Si nous constatons que nous ne voulons pas abandonner complètement nos désirs, demandons-nous « Pourquoi pas ? » Avons-nous réellement besoin de ces désirs ? Que nous apportent-ils? Il y a tellement de <strong>choses bien plus importantes </strong> dans la vie! Lorsque nous essayons de nous accrocher au poison du désir, nous agissons comme des petits bébés qui s’agitent et hurlent, lorsque leur père essaie de reprendre les comprimés colorés qu’ils croyaient être des bonbons. Le désir est un poison ! Si nous l’alimentons, il finira par détruire nos vies. <strong>Laissons notre Père bien-aimé l’éloigner de nous</strong>.</div></div></div> <div class="element element-textarea first last"> <div><div> <div><br />Le gaon de Vilna explique que ce qu’une personne dit qu’elle veut, et même ce qu’elle pense qu’elle avoir envie, n’a aucun rapport avec ce qu’elle veut réellement. Le Yetser Hara a reçu la permission de donner le sentiment à une personne, qu’elle veut quelque chose qu’elle ne veut pas en réalité. Et c’est la même chose pour ce qu’une personne sent qu’elle peut ou ne peut pas faire. Cela n’a aucun rapport avec ce qu’elle peut ou ne peut pas faire <strong>en réalité</strong>. Alors croyez en votre réussite, même si vous sentez que vous n’en n’êtes pas capable.</div> </div> <div><br />Le plus grand obstacle pour réussir n’est pas de croire que vous pouvez réussir. Le premier obstacle pour surmonter cette lutte n’est pas dans vos gènes, votre enfance ou votre environnement. Si vous croyez que vous pouvez réussir et êtes prêt à faire l’effort, vous trouverez le moyen de sortir. Absolument RIEN ne peut empêcher un véritable RATSON. Vous pouvez lire les histoires de rétablissement sur notre site pour voir que beaucoup de gens dans une situation pire que la vôtre ont réussi à se libérer de ces comportements.</div> <div><br />Nous devons véritablement vouloir se libérer de ce <em>Mitsrayim</em>. H’azal dissent que ceux qui n’ont pas voulu quitter <em>Mitsrayim </em> sont mort de la plaie de l’obscurité. Déjà au départ de notre parcours, nous devons être déterminés que <strong>nous ne céderons jamais </strong> et que l’on continuera toujours d’essayer, quoi qu’il en soit.</div> <div><br />R' Tzadok HaKohen de Lublin écrit (Tsidkathatzadik 154): “Tout comme on doit croire en Hachem, il faut croire en soi-même ! » Hachem veut que nous CROYONS en nos forces, nos capacités, et en notre faculté de vaincre le mal et atteindre la grandeur.</div> <div><br />Bien que nous puissions nous sentir dans une impasse, la <strong>détermination </strong> est complètement entre nos mains. L’astuce pour le succès final est seulement d’avoir <strong> assez de volonté</strong>. Alors soyons honnêtes avec nous-mêmes. Si nous constatons que nous ne voulons pas abandonner complètement nos désirs, demandons-nous « Pourquoi pas ? » Avons-nous réellement besoin de ces désirs ? Que nous apportent-ils? Il y a tellement de <strong>choses bien plus importantes </strong> dans la vie! Lorsque nous essayons de nous accrocher au poison du désir, nous agissons comme des petits bébés qui s’agitent et hurlent, lorsque leur père essaie de reprendre les comprimés colorés qu’ils croyaient être des bonbons. Le désir est un poison ! Si nous l’alimentons, il finira par détruire nos vies. <strong>Laissons notre Père bien-aimé l’éloigner de nous</strong>.</div></div></div> 5: ‘Aucune peine, aucun gain’ 2011-11-21T00:00:00Z 2011-11-21T00:00:00Z https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/item/principle-5 madmin <div class="element element-textarea first last"> <div><p>De façon naturelle, nous allons vers tout ce qui semble bien et essayons d’éviter la souffrance. En cela, nous ne sommes pas différents des vaches. Les animaux ne comprennent pas que l’expérience douloureuse peut être bénéfique. Essayez d’expliquer la chirurgie à une vache ! Le plaisir et la souffrance font tous les deux partie de la vie. Mais nous arrivons à choisir les plaisirs et les souffrances que nous voulons. Et le choix se situe entre le faux plaisir que la convoitise nous offre, ou bien le plaisir qu’Hachem veut que nous ayons – qui est infiniment plus grand. Choisissons-nous la douleur du travail spirituel, ou, la douleur du Yetser Hara <strong>qui se renforce </strong>?</p> <p>Comme nous l’avons rapporté dans l’outil 1 du manuel, le Steipeler souligne que toute personne qui s’éloigne de ces plaisirs interdits, a la promesse de recevoir les plaisirs provenant <strong>d’autres domaines de la vie à la place</strong>. Et il s’ensuit que ceux qui acceptent sur eux-mêmes la souffrance que le processus de se libérer entraîne, se sauveront de beaucoup de souffrances provenant d’autres domaines de la vie.</p> <p>Si nous décidons que quel que soit combien cela nous est pénible, nous ne céderons pas –même si nous sentons comme si nous mourons-, Hachem nous enlève la douleur et cela devient beaucoup plus facile.</p></div></div> <div class="element element-textarea first last"> <div><p>De façon naturelle, nous allons vers tout ce qui semble bien et essayons d’éviter la souffrance. En cela, nous ne sommes pas différents des vaches. Les animaux ne comprennent pas que l’expérience douloureuse peut être bénéfique. Essayez d’expliquer la chirurgie à une vache ! Le plaisir et la souffrance font tous les deux partie de la vie. Mais nous arrivons à choisir les plaisirs et les souffrances que nous voulons. Et le choix se situe entre le faux plaisir que la convoitise nous offre, ou bien le plaisir qu’Hachem veut que nous ayons – qui est infiniment plus grand. Choisissons-nous la douleur du travail spirituel, ou, la douleur du Yetser Hara <strong>qui se renforce </strong>?</p> <p>Comme nous l’avons rapporté dans l’outil 1 du manuel, le Steipeler souligne que toute personne qui s’éloigne de ces plaisirs interdits, a la promesse de recevoir les plaisirs provenant <strong>d’autres domaines de la vie à la place</strong>. Et il s’ensuit que ceux qui acceptent sur eux-mêmes la souffrance que le processus de se libérer entraîne, se sauveront de beaucoup de souffrances provenant d’autres domaines de la vie.</p> <p>Si nous décidons que quel que soit combien cela nous est pénible, nous ne céderons pas –même si nous sentons comme si nous mourons-, Hachem nous enlève la douleur et cela devient beaucoup plus facile.</p></div></div> 6: En faire une priorité majeure 2011-11-20T00:00:00Z 2011-11-20T00:00:00Z https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/item/principle-6 madmin <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Aucune chose qui vaut la peine, ne vient sans un dur travail. Un des plus grands obstacles qui stoppe la personne de changer, est la notion selon laquelle on peut y arriver sans beaucoup d’investissements. Nous vivons dans une génération où les résultats sont instantanés, et nous en venons à croire que ce que nous voulons voir arriver, arrivera bientôt. Nous avons tendance à oublier que notre seul but dans ce monde est de grandir et de s’améliorer. Nous avons tendance à regarder toute faiblesse que nous avons, comme un « inconvénient » qui doit être enlevé de notre chemin (ou ignoré), alors qu’en réalité c’est un message personnel d’Hachem qui nous dit exactement la raison pour laquelle Il nous a envoyé dans ce monde. Comme c’est rapporté dans les Sefarim (tels que Tzidkat Hatzadik 49 et 51), les choses avec lesquelles on se bat le plus dans la vie, sont les choses pour lesquelles nous sommes venus dans ce monde pour réparer.</p> <p>Le Gaon de Vilna (sefer Yonah 4:3) parle des <em>Guilgoulim </em>(un <em>Guilgoul </em> signifie que l’âme revient au monde après une vie précédente). Il explique que chaque âme a un travail important de corriger le domaine principal dans lequel il a échoué précédemment, lorsqu’il retourne dans ce monde. Le Gaon de Vilna demande comment pouvons-nous savoir quel est le but du <em>Guilgoul </em> de notre âme ? Il répond que nous pouvons le comprendre en observant les fautes sur lesquelles nous trébuchons le plus, et pour lesquelles le désir est le plus intense.</p> <p>Donc, si c’est la raison pour laquelle, en effet, nous sommes venus au monde, <strong>essayons de rendre les progrès dans ce domaine la chose la plus importante dans notre vie.</strong></p> <p> </p></div></div> <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Aucune chose qui vaut la peine, ne vient sans un dur travail. Un des plus grands obstacles qui stoppe la personne de changer, est la notion selon laquelle on peut y arriver sans beaucoup d’investissements. Nous vivons dans une génération où les résultats sont instantanés, et nous en venons à croire que ce que nous voulons voir arriver, arrivera bientôt. Nous avons tendance à oublier que notre seul but dans ce monde est de grandir et de s’améliorer. Nous avons tendance à regarder toute faiblesse que nous avons, comme un « inconvénient » qui doit être enlevé de notre chemin (ou ignoré), alors qu’en réalité c’est un message personnel d’Hachem qui nous dit exactement la raison pour laquelle Il nous a envoyé dans ce monde. Comme c’est rapporté dans les Sefarim (tels que Tzidkat Hatzadik 49 et 51), les choses avec lesquelles on se bat le plus dans la vie, sont les choses pour lesquelles nous sommes venus dans ce monde pour réparer.</p> <p>Le Gaon de Vilna (sefer Yonah 4:3) parle des <em>Guilgoulim </em>(un <em>Guilgoul </em> signifie que l’âme revient au monde après une vie précédente). Il explique que chaque âme a un travail important de corriger le domaine principal dans lequel il a échoué précédemment, lorsqu’il retourne dans ce monde. Le Gaon de Vilna demande comment pouvons-nous savoir quel est le but du <em>Guilgoul </em> de notre âme ? Il répond que nous pouvons le comprendre en observant les fautes sur lesquelles nous trébuchons le plus, et pour lesquelles le désir est le plus intense.</p> <p>Donc, si c’est la raison pour laquelle, en effet, nous sommes venus au monde, <strong>essayons de rendre les progrès dans ce domaine la chose la plus importante dans notre vie.</strong></p> <p> </p></div></div> 7: Véritable satisfaction/ Fausse satisfaction 2011-11-18T00:00:00Z 2011-11-18T00:00:00Z https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/item/principle-3 madmin <div class="element element-textarea first last"> <div><p>L’objectif du Yetser Hara est de nous porter préjudice, et pour ce faire, on lui a donné la permission d’utiliser le plaisir et le “<em>Sipouk</em>” (satisfaction) comme un ‘’bluff’’, pour être en mesure de nous nuire. Sinon, comment aurait-il pu continuer à faire son travail ? Nous lui dirions d’aller voir ailleurs! Mais nous devons comprendre que ses séductions sont comme un terroriste offrant un morceau de gâteau pour nous prendre au piège. Seul le plaisir qui est lié à la vérité, a un <em>Kiyoum </em>(dure), car il rend la Mitsva complète; Par exemple, manger de la viande Yom Tov ou, le plaisir que nous éprouvons le Chabbat. Mais le plaisir qui est lié au <em>sheker </em> n’a pas de <em>kiyoum</em>, ce qui explique pourquoi lorsque le moment du plaisir est terminé, nous ne ressentons aucune satisfaction. Et aussi, nous n’en parlons pas avec ceux qui nous aiment, avec ceux qui veulent le meilleur pour nous, car nous savons que c’était là simplement pour nous causer des dégâts. Et c’est aussi la raison pour laquelle nous le voulons à nouveau, peu de temps après, même si nous venons de l’avoir. Après tout, si c’était quelque chose de vrai, pourquoi ne serait-il plus là ? Parce que nous sentons un vide, et donc nous voulons de nouveau combler ce vide avec un autre faux <em>Sipouk </em>(satisfaction).</p></div></div> <div class="element element-textarea first last"> <div><p>L’objectif du Yetser Hara est de nous porter préjudice, et pour ce faire, on lui a donné la permission d’utiliser le plaisir et le “<em>Sipouk</em>” (satisfaction) comme un ‘’bluff’’, pour être en mesure de nous nuire. Sinon, comment aurait-il pu continuer à faire son travail ? Nous lui dirions d’aller voir ailleurs! Mais nous devons comprendre que ses séductions sont comme un terroriste offrant un morceau de gâteau pour nous prendre au piège. Seul le plaisir qui est lié à la vérité, a un <em>Kiyoum </em>(dure), car il rend la Mitsva complète; Par exemple, manger de la viande Yom Tov ou, le plaisir que nous éprouvons le Chabbat. Mais le plaisir qui est lié au <em>sheker </em> n’a pas de <em>kiyoum</em>, ce qui explique pourquoi lorsque le moment du plaisir est terminé, nous ne ressentons aucune satisfaction. Et aussi, nous n’en parlons pas avec ceux qui nous aiment, avec ceux qui veulent le meilleur pour nous, car nous savons que c’était là simplement pour nous causer des dégâts. Et c’est aussi la raison pour laquelle nous le voulons à nouveau, peu de temps après, même si nous venons de l’avoir. Après tout, si c’était quelque chose de vrai, pourquoi ne serait-il plus là ? Parce que nous sentons un vide, et donc nous voulons de nouveau combler ce vide avec un autre faux <em>Sipouk </em>(satisfaction).</p></div></div> 8: “Avec la ruse, fais ton combat” (Mishlei 24:6) 2011-11-17T00:00:00Z 2011-11-17T00:00:00Z https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/item/principle-4 madmin <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Nous avons peu de chances de réussir, si nous essayons de combattre de front le Yetser Hara. Comme l’écrit le Ohr Hah’aim (Parachat Ah’arei Mot), la seule manière de réussir dans cette lutte est de protéger nos yeux et nos pensées avec diligence. Une fois que nous réfléchissons à ces choses, et surtout si nous avons les tentations devant nos yeux, ce sera probablement trop tard et nous ne serons plus en mesure de nous contrôler.</p> <p>Il y a une série d’histoires écrites dans la Guemara Kidoushin (80A-81A) où Hachem démontra la puissance du Yetser Hara aux Tana’im qui avaient dénigré son influence. La Guemara rapporte que le Satan lui-même se présenta à Rabbi Akiva comme une femme séduisante à la cime d’un arbre. Il fût tellement enflammé qu’il fut incapable de résister, et commença à grimper sur l’arbre pour fauter. A mi-chemin en grimpant sur l’arbre, le Satan repris sa propre apparence et dit: “Si ce n’était pas qu’il avait été dit dans les Cieux de respecter Rabbi Akiva et ses enseignements, je t’aurais retiré la vie ! ». Une histoire similaire est racontée à propos de Rabbi Méir qui traversa une rivière pour fauter avec une femme, et au milieu du chemin, la femme reprit l’apparence du Satan, lui faisant des reproches avec ces mêmes mots. Nous pouvons apprendre de ces histoires la façon dont il est presque impossible de surmonter ces épreuves, lorsqu’une personne est confrontée de front avec le puissant désir.</p> <p>Par conséquent, pour réussir cette lutte, nous avons besoin d’éviter tous les combats de front. Tout comme les terroristes réussissent souvent parce qu’ils n’essaient pas de lutter de front contre une grande armée, nous devons aussi apprendre à établir une guérilla et à devancer le Yetser Hara. Combattre de front est une recette infaillible pour l’échec. Nous devons plutôt mettre des barrières prudentes pour éviter le Yetser Hara. Pour connaître les barrières que nous devons nous mettre, nous pouvons commencer par nous demander comment le mauvais penchant a si bien réussi jusqu’aujourd’hui ? Comment parvient-il à nous faire tomber? Comment nos esprits travaillent dans les différentes situations dans lesquelles nous nous trouvons ? Comment analysons-nous notre entourage habituellement ? Comment est-ce que notre esprit est habitué à penser et assimiler les choses ? Quels scenarios provoquent le plus nos désirs ? Quelle est notre humeur au moment où cela arrive, et dans quelles situations commençons-nous à glisser ?</p> <p>Lorsque nous nous étudions honnêtement (et parfois cela aide de regardez nos comportements comme une personne différente qui nous regardait de l’extérieur), nous pouvons apprendre comment fonctionne le mauvais penchant avec nous. Ensuite, nous pouvons le devancer et <strong>l’empêcher de nous combattre de front</strong>. Finalement, nous devons apprendre à essayer de ne même pas rentrer dans des discussions avec lui. Au lieu de combattre directement, nous devons apprendre à le <strong>contourner</strong>.</p> <p> </p></div></div> <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Nous avons peu de chances de réussir, si nous essayons de combattre de front le Yetser Hara. Comme l’écrit le Ohr Hah’aim (Parachat Ah’arei Mot), la seule manière de réussir dans cette lutte est de protéger nos yeux et nos pensées avec diligence. Une fois que nous réfléchissons à ces choses, et surtout si nous avons les tentations devant nos yeux, ce sera probablement trop tard et nous ne serons plus en mesure de nous contrôler.</p> <p>Il y a une série d’histoires écrites dans la Guemara Kidoushin (80A-81A) où Hachem démontra la puissance du Yetser Hara aux Tana’im qui avaient dénigré son influence. La Guemara rapporte que le Satan lui-même se présenta à Rabbi Akiva comme une femme séduisante à la cime d’un arbre. Il fût tellement enflammé qu’il fut incapable de résister, et commença à grimper sur l’arbre pour fauter. A mi-chemin en grimpant sur l’arbre, le Satan repris sa propre apparence et dit: “Si ce n’était pas qu’il avait été dit dans les Cieux de respecter Rabbi Akiva et ses enseignements, je t’aurais retiré la vie ! ». Une histoire similaire est racontée à propos de Rabbi Méir qui traversa une rivière pour fauter avec une femme, et au milieu du chemin, la femme reprit l’apparence du Satan, lui faisant des reproches avec ces mêmes mots. Nous pouvons apprendre de ces histoires la façon dont il est presque impossible de surmonter ces épreuves, lorsqu’une personne est confrontée de front avec le puissant désir.</p> <p>Par conséquent, pour réussir cette lutte, nous avons besoin d’éviter tous les combats de front. Tout comme les terroristes réussissent souvent parce qu’ils n’essaient pas de lutter de front contre une grande armée, nous devons aussi apprendre à établir une guérilla et à devancer le Yetser Hara. Combattre de front est une recette infaillible pour l’échec. Nous devons plutôt mettre des barrières prudentes pour éviter le Yetser Hara. Pour connaître les barrières que nous devons nous mettre, nous pouvons commencer par nous demander comment le mauvais penchant a si bien réussi jusqu’aujourd’hui ? Comment parvient-il à nous faire tomber? Comment nos esprits travaillent dans les différentes situations dans lesquelles nous nous trouvons ? Comment analysons-nous notre entourage habituellement ? Comment est-ce que notre esprit est habitué à penser et assimiler les choses ? Quels scenarios provoquent le plus nos désirs ? Quelle est notre humeur au moment où cela arrive, et dans quelles situations commençons-nous à glisser ?</p> <p>Lorsque nous nous étudions honnêtement (et parfois cela aide de regardez nos comportements comme une personne différente qui nous regardait de l’extérieur), nous pouvons apprendre comment fonctionne le mauvais penchant avec nous. Ensuite, nous pouvons le devancer et <strong>l’empêcher de nous combattre de front</strong>. Finalement, nous devons apprendre à essayer de ne même pas rentrer dans des discussions avec lui. Au lieu de combattre directement, nous devons apprendre à le <strong>contourner</strong>.</p> <p> </p></div></div> 9: Apprendre à aimer Hachem à travers cette lutte 2011-11-16T00:00:00Z 2011-11-16T00:00:00Z https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/item/principle-7 madmin <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Ce combat est un sol fertile duquel notre « véritable moi » sortira. Et à travers cela, nous apprenons à donner notre cœur à Hachem. Et espérons que nous serons capables de regarder en arrière un jour et de se dire que cela en valait la peine. Après tout, quelle est la raison pour laquelle nous sommes venus au monde, si ce n’est pour apprendre à donner son cœur à Hachem ? Commele dit le <em>passouk </em>: « <em><strong>Ten béni libh’a li – Mon fils, donne-moi ton cœur </strong></em>». Grâce à cette lutte, nous apprenons à abandonner et laisser D. s’en occuper, à comment tourner notre volonté et notre vie vers Hachem de manière très profonde. Et c’est quelque chose que la plupart des gens n’ont pas le mérite d’apprendre, même en 120 dans ce monde. Donc dans un sens plus profond, cette lutte est réellement un don d’Hachem et est un signe de Son affection pour nous <strong>–si nous l’utilisons correctement !</strong></p> <p>Peu importe jusqu’où nous sommes tombés, nous ne devons jamais nous considérer comme “méprisés” par Hachem ou imaginer que Hachem est contrarié et frustré par nous. Au contraire, alors que nous apprenons à tourner notre volonté vers Hachem, nous commençons à sentir que Hachem est vraiment notre ami le plus proche et le plus éternel.</p> <p>Alors que nous progressons et nous nous améliorons, nous commençons à voir notre relation avec Hachem à un niveau beaucoup plus intime. Nous commençons à percevoir comment les désirs essaient de se placer entre nous et Hachem et interférer contre le plus grand amour qui puisse exister !</p> <p>Pour savoir comment rediriger notre amour vers Hachem dans cette lutte, voici une approche utile du saint sefer, <em>Noam Elimeleh’</em> du Rav Elimeleh de Lizensk (Parchat Beshalah’) :</p> <p class="indent">Yaakov Avinou A”H, servait Hachem avec sa midah, qui est <em>Tiferet </em>(ce qui signifie “beauté impressionnante”). Et tout ce qu’il voyait, entendait, faisait, ou mangeait, l’aidait à voir combien Hachem est impressionnant. Par exemple, s’il voulait manger quelque chose de savoureux, il pensait en lui-même : « Cette nourriture a été créée. Qui est celui qui a donné un bon gout à cette nourriture ? N’était-ce pas le Créateur Béni-Soit-Il? Et si cette nourriture a si bon goût, n’est-il pas évident que tout ce qui est bon, tout ce qui est agréable, se trouve dans le Créateur Béni-Soit-Il, sans aucune limite ? Et ainsi, pensait-il pour chaque chose. Et ainsi nous comprenons le <em>passouk</em>, “Et Yaakov embrassa Rah’el’’.</p> <p>Comment inspirant et beau est le fait d’essayer d’appliquer la midah de Yaakov Avinou dans notre vie. Chaque fois que nous voyons quelque chose qui détourne nos cœurs et désirs, nous devons nous dire : « Si cela est vraiment si bon, et que je le désire tant, combien plus souhaitable ce doit être de se connecter avec Hachem, car en Lui se trouve toute la beauté, le confort, la sécurité, l’amour et le plaisir. (Après tout, s’il n’y avait pas tout cela à l’intérieur de Lui-même, pourquoi l’aurait-il créé?) Nousavons tous un “trou de D.” que nous essayons de combler. Hachem nous a donné un profond besoin subconscient de Le chercher, car Il est la source de <strong>tout ce dont nous avons besoin.</strong> Notre esprit physique tout simplement dérange les signaux du désir ardent de notre âme. La beauté que nous voyons dans ce monde n’est qu’une ombre passagère de la réelle beauté !</p> <p><strong>{pagebreak}</strong></p> <p>Le Baal Shem Tov parle aussi beaucoup, de la façon dont ces désirs sont un “amour déchu”, qui ont en vérité leurs racines dans le monde supérieur spirituel de “<em>Ahava</em>”. Comme il est écrit dans la Parachat Leh’ Leh’a :</p> <p class="indent">Tout (dans ce monde) est une projection d’Hakadosh Barouh Hou à travers les attributs d’amour et de crainte, comme on le sait. Mais l’amour est en exil, vêtu du physique, comme la femme et la nourriture… Il faut se dire dans son cœur, que si j’aime ce qui est seulement « un amour bas et brisé » vêtu d’une goutte putride (qui est là d’où nous venons tous), combien plus devrais-je aimer le Saint béni Soit-Il !</p> <p>Ceux qui luttent contre ces désirs peuvent utiliser cette lutte comme un tremplin pour la Ahavat Hachem.Et lorsque nous réussissons à faire cela, nous élevons les plus grands désirs physiques et les transformons en un grand amour pour Hachem ! Ceci est un très haut niveau de service divin. Nouspouvons également voir cette Middah chez Yaakov Avinou, lorsqu’il a revu son fils après 22 ans et, comme nous disent nos sages, il transforma son amour pour Hachem en disant le&nbsp;<em>Kriyat Chema</em>. Nous pouvons grandir dans ce sens, si à chaque fois que nous sentons des désirs malsains, nous prions Hachem et disons : “<em>Hachem, s’il Te plait, aide-moi à trouver en <strong>Toi</strong>, ce que je recherche dans mes désirs</em>”.</p> <p>Les Séfarim parlent à propos du fait que le désir le plus élevé d’un Juif est d’être <em>davouk </em>– attaché à Hachem et au <em>Ziv </em> de la <em>Sheh’ina</em>. C’est censé être en fait un ‘désir’ en quelque sorte, comme le Rambam (Maimonide, Mishné Torah, “Lois du Repentir ‘’, 10,3) écrit :</p> <p>Quelle est l’amour adéquat que nous devons avoir pour D. ? C’est d’aimer D. d’un amour extrêmement grand et intensément puissant jusqu’à ce que l’individu soit en extase; Il doit être atteint comme une personne malade d’amour, dont l’esprit n’est à aucun moment libre de sa passion pour une femme particulière, avec son image à tout moment dans son cœur, qu’il soit assis ou debout, qu’il mange ou boive. Encore même plus intense doit être l’amour d’Hachem dans le cœur de ceux qui l’aiment, et cet amour doit complètement l’absorber, puisqu’il nous est ordonné d’aimer notre D. « de tout ton cœur et de tout ton âme ». Shlomo Hameleh’ a exprimé cette allégorie dans le verset « car je suis malade d’amour » (Cantique des Cantiques, 2,5). En effet, le Cantique des Cantiques est toute une description allégorique de cet amour.</p></div></div> <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Ce combat est un sol fertile duquel notre « véritable moi » sortira. Et à travers cela, nous apprenons à donner notre cœur à Hachem. Et espérons que nous serons capables de regarder en arrière un jour et de se dire que cela en valait la peine. Après tout, quelle est la raison pour laquelle nous sommes venus au monde, si ce n’est pour apprendre à donner son cœur à Hachem ? Commele dit le <em>passouk </em>: « <em><strong>Ten béni libh’a li – Mon fils, donne-moi ton cœur </strong></em>». Grâce à cette lutte, nous apprenons à abandonner et laisser D. s’en occuper, à comment tourner notre volonté et notre vie vers Hachem de manière très profonde. Et c’est quelque chose que la plupart des gens n’ont pas le mérite d’apprendre, même en 120 dans ce monde. Donc dans un sens plus profond, cette lutte est réellement un don d’Hachem et est un signe de Son affection pour nous <strong>–si nous l’utilisons correctement !</strong></p> <p>Peu importe jusqu’où nous sommes tombés, nous ne devons jamais nous considérer comme “méprisés” par Hachem ou imaginer que Hachem est contrarié et frustré par nous. Au contraire, alors que nous apprenons à tourner notre volonté vers Hachem, nous commençons à sentir que Hachem est vraiment notre ami le plus proche et le plus éternel.</p> <p>Alors que nous progressons et nous nous améliorons, nous commençons à voir notre relation avec Hachem à un niveau beaucoup plus intime. Nous commençons à percevoir comment les désirs essaient de se placer entre nous et Hachem et interférer contre le plus grand amour qui puisse exister !</p> <p>Pour savoir comment rediriger notre amour vers Hachem dans cette lutte, voici une approche utile du saint sefer, <em>Noam Elimeleh’</em> du Rav Elimeleh de Lizensk (Parchat Beshalah’) :</p> <p class="indent">Yaakov Avinou A”H, servait Hachem avec sa midah, qui est <em>Tiferet </em>(ce qui signifie “beauté impressionnante”). Et tout ce qu’il voyait, entendait, faisait, ou mangeait, l’aidait à voir combien Hachem est impressionnant. Par exemple, s’il voulait manger quelque chose de savoureux, il pensait en lui-même : « Cette nourriture a été créée. Qui est celui qui a donné un bon gout à cette nourriture ? N’était-ce pas le Créateur Béni-Soit-Il? Et si cette nourriture a si bon goût, n’est-il pas évident que tout ce qui est bon, tout ce qui est agréable, se trouve dans le Créateur Béni-Soit-Il, sans aucune limite ? Et ainsi, pensait-il pour chaque chose. Et ainsi nous comprenons le <em>passouk</em>, “Et Yaakov embrassa Rah’el’’.</p> <p>Comment inspirant et beau est le fait d’essayer d’appliquer la midah de Yaakov Avinou dans notre vie. Chaque fois que nous voyons quelque chose qui détourne nos cœurs et désirs, nous devons nous dire : « Si cela est vraiment si bon, et que je le désire tant, combien plus souhaitable ce doit être de se connecter avec Hachem, car en Lui se trouve toute la beauté, le confort, la sécurité, l’amour et le plaisir. (Après tout, s’il n’y avait pas tout cela à l’intérieur de Lui-même, pourquoi l’aurait-il créé?) Nousavons tous un “trou de D.” que nous essayons de combler. Hachem nous a donné un profond besoin subconscient de Le chercher, car Il est la source de <strong>tout ce dont nous avons besoin.</strong> Notre esprit physique tout simplement dérange les signaux du désir ardent de notre âme. La beauté que nous voyons dans ce monde n’est qu’une ombre passagère de la réelle beauté !</p> <p><strong>{pagebreak}</strong></p> <p>Le Baal Shem Tov parle aussi beaucoup, de la façon dont ces désirs sont un “amour déchu”, qui ont en vérité leurs racines dans le monde supérieur spirituel de “<em>Ahava</em>”. Comme il est écrit dans la Parachat Leh’ Leh’a :</p> <p class="indent">Tout (dans ce monde) est une projection d’Hakadosh Barouh Hou à travers les attributs d’amour et de crainte, comme on le sait. Mais l’amour est en exil, vêtu du physique, comme la femme et la nourriture… Il faut se dire dans son cœur, que si j’aime ce qui est seulement « un amour bas et brisé » vêtu d’une goutte putride (qui est là d’où nous venons tous), combien plus devrais-je aimer le Saint béni Soit-Il !</p> <p>Ceux qui luttent contre ces désirs peuvent utiliser cette lutte comme un tremplin pour la Ahavat Hachem.Et lorsque nous réussissons à faire cela, nous élevons les plus grands désirs physiques et les transformons en un grand amour pour Hachem ! Ceci est un très haut niveau de service divin. Nouspouvons également voir cette Middah chez Yaakov Avinou, lorsqu’il a revu son fils après 22 ans et, comme nous disent nos sages, il transforma son amour pour Hachem en disant le&nbsp;<em>Kriyat Chema</em>. Nous pouvons grandir dans ce sens, si à chaque fois que nous sentons des désirs malsains, nous prions Hachem et disons : “<em>Hachem, s’il Te plait, aide-moi à trouver en <strong>Toi</strong>, ce que je recherche dans mes désirs</em>”.</p> <p>Les Séfarim parlent à propos du fait que le désir le plus élevé d’un Juif est d’être <em>davouk </em>– attaché à Hachem et au <em>Ziv </em> de la <em>Sheh’ina</em>. C’est censé être en fait un ‘désir’ en quelque sorte, comme le Rambam (Maimonide, Mishné Torah, “Lois du Repentir ‘’, 10,3) écrit :</p> <p>Quelle est l’amour adéquat que nous devons avoir pour D. ? C’est d’aimer D. d’un amour extrêmement grand et intensément puissant jusqu’à ce que l’individu soit en extase; Il doit être atteint comme une personne malade d’amour, dont l’esprit n’est à aucun moment libre de sa passion pour une femme particulière, avec son image à tout moment dans son cœur, qu’il soit assis ou debout, qu’il mange ou boive. Encore même plus intense doit être l’amour d’Hachem dans le cœur de ceux qui l’aiment, et cet amour doit complètement l’absorber, puisqu’il nous est ordonné d’aimer notre D. « de tout ton cœur et de tout ton âme ». Shlomo Hameleh’ a exprimé cette allégorie dans le verset « car je suis malade d’amour » (Cantique des Cantiques, 2,5). En effet, le Cantique des Cantiques est toute une description allégorique de cet amour.</p></div></div> 10: Rediriger le pouvoir de nos âmes 2011-11-14T00:00:00Z 2011-11-14T00:00:00Z https://french.guardyoureyes.com/the-gye-program/the-30-principles/21-principles-for-the-struggle/item/principle-8 madmin <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Nous découvrons souvent que nous essayions de combattre le Yetser Hara seulement, plutôt que de se construire et changer toute sa personne. Pour un véritable succès à long terme, nous devons apprendre à combattre <strong>l’origine&nbsp;</strong> des mauvais comportements, et non pas seulement les symptômes.</p> <p>Le Midrach dit que si vous avez fait de nombreux <em><strong>h’avilot </strong></em>(paquets) de fautes, faites des <em><strong>h’avilot </strong> </em> de Mitsvot à la place. Le Beit Aharon de Karlin explique que <em><strong>H’avilot </strong> </em> est un langage de <em>Hitkashrout </em>–connexion (comme il est dit «<em> Yaakov <strong>H’evel </strong> Neh’alato </em>»), et il explique que pour réparer ce que nous avons fait dans le passé et se libérer de l’ « autre côté », nous devons utiliser la même <em><strong>hitkashrout </strong> </em> et enthousiasme qui remplissaient notre esprit et nos membres au moment où nous avons fauté, et plutôt faire les Mitsvot de la même manière enthousiaste et prenante.</p> <p>En général, ceux qui luttent beaucoup contre ces problèmes, ont beaucoup d’énergie émotionnelle et spirituelle à l’intérieur d’eux. Ce sont eux qui ont effectivement la capacité et le potentiel pour la connexion spirituelle la plus intense avec Hachem. Nous avons juste besoin d’apprendre à canaliser l’énergie de nos âmes de la bonne manière.</p> <p>Il est également connu que les personnes avec des traits de caractère particuliers, comme la créativité, l’amour pour les gens, et la sensibilité spirituelle, sont plus enclins à chercher une autre façon d’exprimer leurs forces intérieures à travers un désir plus intense que la normale. C’est pourquoi il est important d’apprendre à canaliser les atouts que nous avons dans la bonne direction. Des désirs accrus sont en réalité un symptôme d’un profond besoin subconscient qui, pour une raison quelconque, n’a pas encore atteint sa réalisation.</p> <p><strong>{pagebreak}</strong></p> <p>Nos sages ont dit (Soucca 52A, qui parle des désirs) : <em>“Quiconque est plus grand que son prochain, son Yetser Hara est aussi plus grand”. </em> Il est important de comprendre que, dans un sens psychologique, le Yetser Hara et le Yetser Hatov ont en fait la même force intérieure. Le plus une personne est élevée, le plus les forces de son âme ont besoin de s’exprimer, et ces forces finalement éclateront et s’exprimeront soit dans un sens positif soit négatif.</p> <p>Comme le Rav Tsadok (dans Tzidkat Hatsadik N°44) écrit, si une personne a des tentations majeures, elle ne devrait pas être attristée, elle devrait au contraire être heureuse de se rende compte qu’elle possède des atouts particuliers qui doivent être correctement canalisés. Ceci, explique-t-il, est ce que H’azal entendent par <em>« Celui qui est plus grand que son prochain, son Yetser Hara est également plus grand »</em>.</p> <p>Plus loin, le Rav Tsadok explique (en se basant sur le Zohar) que le <em>Dor Hamaboul </em> et le <em>Dor Hamidbar </em> qui ont reçu la Torah, ont partagé les mêmes âmes. Et il explique que la raison à cela, repose sur le principe expliqué au-dessus. La faute principale du <em>Dor Hamaboul </em>était l’émission de sperme, comme cela est bien connu de tous les <em>Séfarim </em> de <em>kabbala</em>, et le <em>Dor Hamaboul </em> a été <em>Zoh'é </em> de recevoir la Torah. Rav Tzadok explique que l’énergie spirituelle est une seule et même chose. La fausse convoitise du désir est le revers de la médaille de cette même médaille que constitue le véritable désir de la Torah et de la spiritualité. Et il explique également que cette génération apparaîtra de nouveau dans les jours précédents le Machiah’, lorsque les <em>Koh’ot </em> spirituelles réussiront de nouveau à vaincre le <em>Koah’ </em> du désir.</p> <p>Alors essayons d’orienter notre énergie spirituelle dans nos prières. Nous serons agréablement surpris de voir la manière dont elles peuvent s’élever ! Et commençons à faire les Mitsvot avec enthousiasme et étudions la Torah avec passion ! Nous avons reçu un cadeau d’Hachem, parce que le combat que nous vivons est simplement en fait, les vibrations de nos âmes qui luttent pour <strong>s’exprimer de façon authentique,</strong> et pour une véritable connexion avec le Tout-Puissant.</p> <p>Notre service divin peut être bien <strong>supérieur à la moyenne</strong> si nous utilisons la lutte de la façon dont Hachem le veut, comme un tremplin pour grandir. Le progrès spirituel qui pourrait prendre de nombreuses années de service Divin intense pour d’autres gens pour y parvenir, nous pouvons l’atteindre grâce à cette lutte en très peu de temps si nous l’utilisons correctement !</p> <p>Cela peut également être très utile, de chercher d’autres façons de se connecter à Hachem pour trouver une satisfaction intérieure. Nous pouvons rechercher des projets de H’essed, des projets de Torah ou l’étude de nouveaux sujets ou de nouvelles techniques dans le service divin. Car c’est à cela que nos âmes aspirent: un lien significatif avec Hachem, et d’accomplir ce pourquoi nous sommes venus dans le monde.</p> <p>Il est également important de souligner que, au lieu de s’enfuir frénétiquement du Yetser Hara avec peur, nous pouvons apprendre à courir vers Hachem avec joie. Si nous faisons cela, le Yetser Hara s’enfuit de lui-même. Comme les Sefarim disent : <strong><em>“Sour merah” </em> Comment ? A travers le <em>“AssehTov!”</em></strong></p> <p> </p></div></div> <div class="element element-textarea first last"> <div><p>Nous découvrons souvent que nous essayions de combattre le Yetser Hara seulement, plutôt que de se construire et changer toute sa personne. Pour un véritable succès à long terme, nous devons apprendre à combattre <strong>l’origine&nbsp;</strong> des mauvais comportements, et non pas seulement les symptômes.</p> <p>Le Midrach dit que si vous avez fait de nombreux <em><strong>h’avilot </strong></em>(paquets) de fautes, faites des <em><strong>h’avilot </strong> </em> de Mitsvot à la place. Le Beit Aharon de Karlin explique que <em><strong>H’avilot </strong> </em> est un langage de <em>Hitkashrout </em>–connexion (comme il est dit «<em> Yaakov <strong>H’evel </strong> Neh’alato </em>»), et il explique que pour réparer ce que nous avons fait dans le passé et se libérer de l’ « autre côté », nous devons utiliser la même <em><strong>hitkashrout </strong> </em> et enthousiasme qui remplissaient notre esprit et nos membres au moment où nous avons fauté, et plutôt faire les Mitsvot de la même manière enthousiaste et prenante.</p> <p>En général, ceux qui luttent beaucoup contre ces problèmes, ont beaucoup d’énergie émotionnelle et spirituelle à l’intérieur d’eux. Ce sont eux qui ont effectivement la capacité et le potentiel pour la connexion spirituelle la plus intense avec Hachem. Nous avons juste besoin d’apprendre à canaliser l’énergie de nos âmes de la bonne manière.</p> <p>Il est également connu que les personnes avec des traits de caractère particuliers, comme la créativité, l’amour pour les gens, et la sensibilité spirituelle, sont plus enclins à chercher une autre façon d’exprimer leurs forces intérieures à travers un désir plus intense que la normale. C’est pourquoi il est important d’apprendre à canaliser les atouts que nous avons dans la bonne direction. Des désirs accrus sont en réalité un symptôme d’un profond besoin subconscient qui, pour une raison quelconque, n’a pas encore atteint sa réalisation.</p> <p><strong>{pagebreak}</strong></p> <p>Nos sages ont dit (Soucca 52A, qui parle des désirs) : <em>“Quiconque est plus grand que son prochain, son Yetser Hara est aussi plus grand”. </em> Il est important de comprendre que, dans un sens psychologique, le Yetser Hara et le Yetser Hatov ont en fait la même force intérieure. Le plus une personne est élevée, le plus les forces de son âme ont besoin de s’exprimer, et ces forces finalement éclateront et s’exprimeront soit dans un sens positif soit négatif.</p> <p>Comme le Rav Tsadok (dans Tzidkat Hatsadik N°44) écrit, si une personne a des tentations majeures, elle ne devrait pas être attristée, elle devrait au contraire être heureuse de se rende compte qu’elle possède des atouts particuliers qui doivent être correctement canalisés. Ceci, explique-t-il, est ce que H’azal entendent par <em>« Celui qui est plus grand que son prochain, son Yetser Hara est également plus grand »</em>.</p> <p>Plus loin, le Rav Tsadok explique (en se basant sur le Zohar) que le <em>Dor Hamaboul </em> et le <em>Dor Hamidbar </em> qui ont reçu la Torah, ont partagé les mêmes âmes. Et il explique que la raison à cela, repose sur le principe expliqué au-dessus. La faute principale du <em>Dor Hamaboul </em>était l’émission de sperme, comme cela est bien connu de tous les <em>Séfarim </em> de <em>kabbala</em>, et le <em>Dor Hamaboul </em> a été <em>Zoh'é </em> de recevoir la Torah. Rav Tzadok explique que l’énergie spirituelle est une seule et même chose. La fausse convoitise du désir est le revers de la médaille de cette même médaille que constitue le véritable désir de la Torah et de la spiritualité. Et il explique également que cette génération apparaîtra de nouveau dans les jours précédents le Machiah’, lorsque les <em>Koh’ot </em> spirituelles réussiront de nouveau à vaincre le <em>Koah’ </em> du désir.</p> <p>Alors essayons d’orienter notre énergie spirituelle dans nos prières. Nous serons agréablement surpris de voir la manière dont elles peuvent s’élever ! Et commençons à faire les Mitsvot avec enthousiasme et étudions la Torah avec passion ! Nous avons reçu un cadeau d’Hachem, parce que le combat que nous vivons est simplement en fait, les vibrations de nos âmes qui luttent pour <strong>s’exprimer de façon authentique,</strong> et pour une véritable connexion avec le Tout-Puissant.</p> <p>Notre service divin peut être bien <strong>supérieur à la moyenne</strong> si nous utilisons la lutte de la façon dont Hachem le veut, comme un tremplin pour grandir. Le progrès spirituel qui pourrait prendre de nombreuses années de service Divin intense pour d’autres gens pour y parvenir, nous pouvons l’atteindre grâce à cette lutte en très peu de temps si nous l’utilisons correctement !</p> <p>Cela peut également être très utile, de chercher d’autres façons de se connecter à Hachem pour trouver une satisfaction intérieure. Nous pouvons rechercher des projets de H’essed, des projets de Torah ou l’étude de nouveaux sujets ou de nouvelles techniques dans le service divin. Car c’est à cela que nos âmes aspirent: un lien significatif avec Hachem, et d’accomplir ce pourquoi nous sommes venus dans le monde.</p> <p>Il est également important de souligner que, au lieu de s’enfuir frénétiquement du Yetser Hara avec peur, nous pouvons apprendre à courir vers Hachem avec joie. Si nous faisons cela, le Yetser Hara s’enfuit de lui-même. Comme les Sefarim disent : <strong><em>“Sour merah” </em> Comment ? A travers le <em>“AssehTov!”</em></strong></p> <p> </p></div></div>