11: Faire face aux pensées et fantasmes

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Toute personne a ces fantasmes. Certaines personnes plus, certaines personnes moins. Nous sommes des êtres humains et non pas des anges. Hakadoch Barouh’ Hou a créé le monde d’une telle manière que les hommes et les femmes sont attirés l’un vers l’autre et, grâce à cela, les gens se marient, ont des enfants et peuplent la Terre. Si, faire face à ces pensées vous dérange, c’est déjà quelque chose duquel vous pouvez être fier. Si nous nous sentons rabaissés par rapport à ces fantasmes, nous nous attristons, et la tristesse amène encore plus de fantasmes, et cela devient un cercle vicieux qui est difficile à rompre. Cependant, au moment où nous commençons à nous regarder de manière positive, nous verrons que les fantasmes viendront beaucoup moins souvent.

Le Ba’al Hatanya (Chapitre 27, abrégé) écrit à propos de ceux qui maitrisent ces mauvaises pensées :

Le Zohar (p.128) parle de la grande satisfaction devant Hachem lorsque la sitra ah’ra (l’autre côté) est soumise ici-bas. Car alors la gloire de Hakadoch Barouh’ Hou s’élève au-dessus det out, encore plus que tout ce qui est possible grâce à toute louange, et cette élévation est plus grande que tout autre chose.

Par conséquent, personne ne doit se sentir déprimé, même s’il devait être engagé tous les jours dans ce conflit, car il a peut-être été créé pour cela, pour subjuguerc onstamment la Sitra ah’ra.


Ils racontent l’histoire d’un Baal Techouva qui alla une fois chez l’un des Maîtres Hassidiques avec une question. Ayant fait Techouva sur son mauvais passé, il constata qu’il était encore en proie à de mauvaises pensées et fantasmes. Le Rabbi lui raconta une parabole :

Il était une fois un Juif nommé Moshke, qui possédait une auberge où il avait l’habitude devendre du vin aux Gentils, paysans dans la région. Après quelque temps, il fût dégouté d’avoir à faire face aux Gentils ivres et décida d’aller travailler dans un autre domaine et ferma son bar. Ce soir-là, on frappa à la porte. « Moshke, Moshke, ouvrez ! Nous voulons du vin!” “Désolé”, Moshke répondit, “A partir de maintenant, l’auberge est fermée”. Les Gentils n’avaient pas le choix que de quitter déçus. Pendant plusieurs jours, voire des semaines après, Moshke continuaient de recevoir des coups à la porte, mais le mot finit par se répandre lentement, et les coups à la porte se firent de moins en moins entendre, jusqu’à ce que les Gentils cessent complètement de venir.


C’est la même chose pour ces pensées, a expliqué le Rabbi. Après avoir fait Techouva, les pensées continuent à venir, mais si nous gardons le magasin fermé et nous nous abstenons de nos anciens comportements, les pensées aussi s’arrêteront de nous venir après un certain temps.
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