16: Se relever après la chute

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Si nous faisons face à une chute, nous ne devons jamais nous laisser abattre. Devenir déprimé, c’est exactement ce que le Yetser Hara nous dit de faire, et cela conduit à un cercle vicieux de chutes continues.

Le vrai test d’un Eved Hachem est davka lorsqu’Hachem l’éloigne de tout, comme lorsqu’il tombe et ne ressent aucune inspiration, aucune émotion, et aucune Hitlaavout. C’est un moment de vérité où une personne peut se demander honnêtement, « je suis Eved Hachem parce que c’est ma nature et/ou, parce que cela me maintient émotionnellement heureux, ou bien est-ce que je sers le Tout-Puissant, parce que c’est Sa volonté et rien d’autre ? »

Le Rabbi de Loubavitch (un élève de R’ Chlomo de Karlin) alla une fois assez loin pour dire même, que si une personne qui tue quelqu’un et le couteau est encore dégoulinant de sang, se sent incapable de se lever et prier Minh’a (la prière de l’après-midi) de toute ses forces et de tout son cœur, elle n’a alors pas encore goûté aux eaux de la H’assidout !

Le Be’er Mayim Hayim dit qu’à l’armée, lorsqu’ils veulent tester un soldat important pour voir s’il est apte à devenir général, ils le mettent sur un cheval sauvage sur lequel il est impossible de ne pas être projeté et tomber. Bien que personne ne peut rester sur ce cheval, le test constitue un moyen de voir quelle sera sa rapidité pour se relever après avoir été brutalement projeté et blessé.

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