Outil n°10 Barrières solides supplémentaires: La méthode TaPhSiC

Partie 3/5 (pour poursuivre la lecture de cet article, cliquez en bas sur le numéro des pages)

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Partie 3: Trouver la Formule Parfaite

Donc la seule chose que nous avons à faire maintenant est de trouver la formule parfaite; une combinaison des répercussions spirituelles et non spirituelles qui SONT assez grandes pour nous arrêter.

Nous avons vu qu’APRES l’action (lorsque les désirs se sont apaisées), nous sommes beaucoup plus disposés à faire ce qu’il faut pour empêcher la chute SUIVANTE. Et nous avons aussi vu que nous sommes capables de tenir mieux lorsque les répercussions sont GRANDES.

Essayons donc ceci :

Si nous avons fait une shvoua au nom de Hachem (et réellement prononcer le nom d’Hachem) qu’APRES avoir agi compulsivement, nous ferons x,y, ou z, -garderions-nous la shvoua ? La plupart de dépendants froum le feraient. Après tout, c’est APRÈS être passé à l’acte. Les désirs ont déjà été réduits au silence et nous nous sentons mal. Nous ne voulons pas jeter le reste de notre religion. Alors ne garderions-nous pas une shvoua que nous avons fait au nom d’Hachem ? Transgresserions-nous l’un des 10 commandements « Lo tissah et Shem Hachem Elokeh’a lashav – ne jure pas au nom de D. en vain » (et comme le passouk continue, « car Hachem ne purifiera jamais celui qui jure en Son nom en vain ») ?

Nous devons faire la shvoua de faire quelque chose de difficile et douloureux. Pas trop dur au point que nous puissions en venir à briser la shvoua au nom d’Hachem h’’v, mais assez difficile pour faire en sorte de nous enlever l’envie d’agir compulsivement la prochaine fois. Quelque chose que nous savons difficile, mais quelque chose que nous savons que nous pourrons garder.

Par exemple, quelqu’un a écrit qu’il a fait le vœu de donner 200$ après chaque chute. Après 4 chutes, il était libéré de l’addiction. Une autre personne (en Israël) a écrit qu’il a réussi à se libérer en faisant un vœu sur un an, qu’après chaque chute il devrait prendre le bus, aller au Kotel et y rester 90 minutes. Cela l’aida a finalement arrêter complètement, parce qu’à chaque fois qu’il était sur le point de céder, il se rappelait ce qu’il devrait faire ensuite et cela le dissuadait.

Quelques autres exemples pourraient être: “Je jure au nom de  Ado-nai – pour une semaine, que si je suis motzi zera levatala, je devrais alors dans les 24 heures suivantes :

  • Raconter à mon Rav
  • Raconter à un ami proche
  • Jeûner le lendemain de Alot Hashah’ar jusqu’à la nuit. (Si c’est Chabbat ou Yom Tov, je jeûnerai le lendemain.)

Au début, ces Shvouot devraient être sur de courtes périodes de temps, comme dans l’exemple ci-dessus. Si nous voyons que cela fonctionne bien pour nous, nous pouvons prolonger la shvoua sur de plus longues périodes de temps. Si nous voyons que la dissuasion s’avère ne pas être assez forte pour nous, nous pourrions avoir besoin de trouver quelque chose d’un peu plus douloureux. (Voir outil n°7 – "Mettre des Barrières” ci-dessus, pour voir un exemple de Shvoua que nous avons mis en place pour aider quelqu’un. Si nous faisons cette même Shvoua au nom de Hachem, nous prenons cette barrière à un plus haut niveau.)

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