La devise monétaire du mariage
Je reconnais qu'il est difficile pour moi de sentir parfois, que mon épouse devient peu attrayante, à cause du poids, ou autre. Mais je me souviens que tout cela n’est qu’un piège de ma dépendance pour m’ôter toute joie de la relation. Je sais que ce type de pensées est une pente glissante pour moi, j'ai donc besoin de rester en dehors de tout cela et l’aimer. Je dois faire plus de choses pour elle (et encore plus, et plus, et plus d'actions affectueuses), lorsque je commence à penser ainsi. C'est le seul médicament que je connaisse.
Vous savez, ce n'est pas d’une source de Torah, mais j'ai lu "Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus" il y a plusieurs années et ce livre a touché une corde sensible chez moi. Pas tellement par l’accent qu'il met à propos du fait que les hommes et les femmes pensent tout à fait différemment, mais à propos de nos réactions différentes - et souvent inattendues - aux signaux et comportements de l’autre.
Mais le savoir ne m’a pas suffi... Il m’a fallu beaucoup pour accepter de commencer à communiquer avec elle à sa manière, pour changer, au lieu de communiquer Davka à ma manière. Avant ma longue chute et le rétablissement subséquent qui a suivi, c’était probablement impossible ...
Il me faut beaucoup d'abandon de mon propre ego pour utiliser régulièrement sa «devise monétaire» dans notre relation, telle que: le partage de la charge des enfants et des responsabilités, être à l'heure, être heureux plutôt que sérieux et profond, être près d'elle et proche sans être nécessairement sexuel, et prendre des mesures affectueuses(donner quelque chose, sans aucune attente en retour). Pour ma part, ma «devise monétaire» dans notre relation, est naturellement, eh bien, vous pouvez deviner ce que c'est... Mais je m'améliore, b "H!
C'est un processus lent, très lent, mais il en vaut la peine. Quand on est dans la vie réelle, il est certainement tout à fait différent de savoir ce qu'est l'amour et ce qu’est être vraiment avec quelqu'un, pas un fantasme. Mais cela ne peut se produire tant que je suis demandeur.
Il est dit dans Kohelet (plus ou moins):
"S'ma’h Im Ha'icha Che'ahavta Ki Hou 'Helke'ha Me'elokim Be'hayei Hevle'ha - être heureux / satisfait (voir Rav Twerski à propos de la "Sim’ha" dans son livre « Let us make man ») avec la femme que tu aimes, car c’est ta part dans cette vie de vanité. "
N'aurait-il pas dû être écrit "car elle est ta part"? Qu'est-ce que "c’est"?
Je pense que «c’est» se réfère à «la relation» - qui doit devenir quelque chose de beaucoup plus grand que l'autre conjoint. Tant pis pour moi, cela concerne ce que nous créons ensemble en donnant. (Cette attitude est probablement ce qui nous a fait sortir ma femme et moi de mon état précédent horrible, à travers mon rétablissement).
J'espère vraiment que cela aidera quelqu'un, parce que je suis ici à perte, et GYE ne m’offre pas d’augmentation du tout .... :-)
Quelqu’un a répondu sur le forum :
Le truc à propos du poids, je vous entends à 100% ... nous dépendants n'avons qu'une idée en tête et cette idée ne peut mener qu'aux mauvais endroits, je le saisis ... mais tous ces trucs de "véritable amour" entre un mari et une femme existant réellement, complètement en dehors de toute attirance physique, reposant entièrement sur cette proximité et unité… Je ne sais pas, je ne sais pas ...
Dov répond:
Je ne sais pas non plus. A l'intérieur, je sais que je ne sais vraiment pas. Je n'en suis pas encore là, je suis juste en train d’y goûter et de le partager avec vous. Le point, c'est que nous grandissons dans cette direction, et non pas que nous en sommes là. J'ai trouvé que même un petit goût d’une véritable perspective venant de l'intérieur de moi, change le jeu en entier - un peu.
Nou, ce n'est pas beaucoup, mais c'est génial quand même!
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J’aime beaucoup cette phrase de Dov:
Le point, c'est que nous grandissons dans cette direction, et non pas que nous en sommes là.
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