Outre ce que la Torah dit, y a-t-il quelque chose d'intrinsèquement mal à l'adultère ?

«Parfois, ma dépendance me fait penser, qu’y- t-il de mal à l'adultère? Beaucoup de goyim le font aujourd'hui. Y a-t-il quelque chose d'intrinsèquement mal à cela, à part le fait que la Torah l’interdise?"

GYE répond :

Même sans parler de Torah, l'adultère détruit complètement les fondations de la structure familiale. Si la seule chose qui rend un mari et une femme unique l’un à l’autre n’existe plus, alors pourquoi devrait-on rester avec sa femme quand elle grossit un peu? Ou si elle nous irrite un peu? Il ne vous reste plus qu'à lui dire, "va avec d’autres hommes avec qui tu es  - laisse-les s’occuper de toi"... Et elle lui dira d'aller avec d’autres femmes avec qui il est... S’il n'y a rien d'exceptionnel pour maintenir le couple ensemble, alors il n'y a pas d'engagement. Cela signifie que les enfants n'ont pas un père qui s'est engagé à la famille. Et non seulement cela, les enfants ne savent même pas si cet homme est leur père! Si tous les deux le font avec d'autres, alors les enfants peuvent être d’autres aussi! Et puis quel sorte d'engagement le père sentira à élever ses enfants et subvenir à leurs besoins, s’ils ne sont même pas sûrs que ce sont les leurs? En bref, il ne peut y avoir aucune structure familiale, aucun engagement ni aucune responsabilité à fournir - si l'adultère est un moyen reconnu de la vie. Même ceux qui croient en l'Evolution et en la survie du plus apte (H’as Vechalom), pensent que dans les communautés où l'adultère est accepté, les enfants grandissent déséquilibrés, traumatisés et abusifs - et qu'ils ne survivront pas longtemps. Cela s’entend. Et c'est pourquoi notre Créateur, qui sait exactement de quelle manière Il nous a créés, et ce dont nous avons besoin pour une structure familiale saine, et pour que le père pourvoit aux besoins sa famille, nous a ordonné de rester loin de ces comportements. Et nous obtenons un s'har énorme quand nous L'écoutons, même si c'est vraiment complètement pour notre propre bénéfice!