Outil n°5 Se Sentir Satisfait Autrement
Partie 1/2 (pour poursuivre la lecture de cet article, cliquez en bas sur le numéro des pages)
Nous mettons souvent l'accent sur la rupture de la dépendance en évitant tout ce qui pourrait la déclencher ou en s'enfuyant du Yetser Hara. Mais souvent, la meilleure façon de se comporter face à une dépendance, est d'enlever les «besoins» sous-jacents que la dépendance essaie de satisfaire, en s'engageant de façon proactive dans d'autres activités satisfaisantes.
Le plus souvent, une dépendance est une évasion psychologique, que nous avons appris à utiliser comme un moyen de fuir les réalités de la vie. Si nous parvenons, dans les premiers stades de la dépendance, à se maintenir occuper par des activités saines et satisfaisantes, et ainsi mettre plus de sens dans nos vies, la dépendance disparaîtra probablement d'elle-même. La satisfaction vient souvent par le fait de se fixer des défis réalistes et d'atteindre les objectifs que nous avons fixés.
Nous devrions essayer de trouver de nouveaux emplois ou projets qui nous permettrons d'exprimer notre créativité, de trouver de la satisfaction et de reconnecter avec l'extérieur et le monde qui nous entoure. Cela aidera à remplir le «vide» que nous avons essayé inconsciemment de satisfaire par un plaisir malsain. Quelques idées peuvent être trouvées dans notre rubrique "activités casher")
Une « fausse » satisfaction nous amène à nous renfermer sur nous-mêmes et à lentement détruire nos vies. Une véritable satisfaction, par contre, nous aide à nous ouvrir au monde qui nous entoure et à se reconnecter avec nos âmes. Chaque Juif a une « ouverture à D. », une endroit à l'intérieur de nous-mêmes qui se sent vide s'il n'est pas rempli par D.. Souvent, inconsciemment, nous essayons de combler ce sentiment de vide par la convoitise. Mais, la meilleure façon de remplir cette « ouverture à D. », et d'atteindre une réelle satisfaction et joie, consiste évidemment à établir une véritable connexion avec Hachem. Comme le Passouk dit : « Tamou Ouréou Ki Tov Hachem – Goûtez et voyez que Hachem est bon », et « Vehitnaeg al Hachem – Trouver du plaisir en Hachem ». Ceci peut être construit en ajoutant de la keddousha à notre vie, cherchant une connexion plus profonde avec la yiddishkeit (religion) de façon général, ainsi qu'à travers l'étude de la Torah avec contentement. La Torah est semblable à l'eau, et nous ne pouvons pas éteindre un feu sans eau, même si nous savons qu'il peut nous brûler. Nous pouvons essayer de nous lier à une nouvelle h'avroutah ou ajouter un chiour à notre emploi du temps journalier ou hebdomadaire. Voir la rubrique "Torah" des "activités casher" pour plus d'idées sur la manière d'enrichir nos vies en Torah, et pour trouver des liens vers de nombreux sites formidables de Torah et Shiourim audio et vidéo.
Le plus souvent, une dépendance est une évasion psychologique, que nous avons appris à utiliser comme un moyen de fuir les réalités de la vie. Si nous parvenons, dans les premiers stades de la dépendance, à se maintenir occuper par des activités saines et satisfaisantes, et ainsi mettre plus de sens dans nos vies, la dépendance disparaîtra probablement d'elle-même. La satisfaction vient souvent par le fait de se fixer des défis réalistes et d'atteindre les objectifs que nous avons fixés.
Nous devrions essayer de trouver de nouveaux emplois ou projets qui nous permettrons d'exprimer notre créativité, de trouver de la satisfaction et de reconnecter avec l'extérieur et le monde qui nous entoure. Cela aidera à remplir le «vide» que nous avons essayé inconsciemment de satisfaire par un plaisir malsain. Quelques idées peuvent être trouvées dans notre rubrique "activités casher")
Une « fausse » satisfaction nous amène à nous renfermer sur nous-mêmes et à lentement détruire nos vies. Une véritable satisfaction, par contre, nous aide à nous ouvrir au monde qui nous entoure et à se reconnecter avec nos âmes. Chaque Juif a une « ouverture à D. », une endroit à l'intérieur de nous-mêmes qui se sent vide s'il n'est pas rempli par D.. Souvent, inconsciemment, nous essayons de combler ce sentiment de vide par la convoitise. Mais, la meilleure façon de remplir cette « ouverture à D. », et d'atteindre une réelle satisfaction et joie, consiste évidemment à établir une véritable connexion avec Hachem. Comme le Passouk dit : « Tamou Ouréou Ki Tov Hachem – Goûtez et voyez que Hachem est bon », et « Vehitnaeg al Hachem – Trouver du plaisir en Hachem ». Ceci peut être construit en ajoutant de la keddousha à notre vie, cherchant une connexion plus profonde avec la yiddishkeit (religion) de façon général, ainsi qu'à travers l'étude de la Torah avec contentement. La Torah est semblable à l'eau, et nous ne pouvons pas éteindre un feu sans eau, même si nous savons qu'il peut nous brûler. Nous pouvons essayer de nous lier à une nouvelle h'avroutah ou ajouter un chiour à notre emploi du temps journalier ou hebdomadaire. Voir la rubrique "Torah" des "activités casher" pour plus d'idées sur la manière d'enrichir nos vies en Torah, et pour trouver des liens vers de nombreux sites formidables de Torah et Shiourim audio et vidéo.
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